Ce n'est pas grave ^^, ce n'est pas non plus quelque chose de si inattendu que ça ^^.

Bon ben voila fini a l'instant. J'ai pas changer d'avis..... C'est une putain de tuerie. Allez, je vais tout faire pour écrie un avis définitif.

Ah je croyais que tu parlais de moi vu que j'avais fail sur une balise... Merci l'édit éclair^^'.

C'est pas grand chose comme spoil apparemment Strange sinon, arf c'est ma faute en même temps, comment résister à l'envie de montrer ce screen quand on évoque le sujet (les phrases en plus des images du jeu quoi... No comment).

Sinon Snaaake désolé de souiller ton foyer tranquille où ta douce existence n'est parsemée que de best game evah décidément imperméable à la moindre critique, parce que sinon 'tention, c'est du bashing.




BigBoss27 : J'attend que tu le finisse quand même , mais le scénario est visiblement convenu, et les quelques phases de gameplay des plus générique donc, mais je n'ai pas dit que ça faisait de ce jeu de la merde : il lui reste encore son ambiance, sa beauté et ce qui fait de lui une expérience doté d'une approche infiniment plus cinématographique du média, et yep c'est une expérience que l'on se doit d'appréhender avec les attentes nécessaire au kiffage attendu^^.

Personnellement, je me le prendrais surtout pas plein pot mais sache que je désire quand même me le faire !

Ah, et bon jeu à toi vu que tu l'as pas encore terminé .

Sinon, fait parler ta plume Spart', ce topic est fait pour ça !

Le jeux il donne envie mais, plus tard, en occase.
Par contre qu'est ce que j'en ai marre des jeux où on vous propose des sous titres illisible tellement petit.

The Order est un de ces projets qui visent à intégrer le jeu vidéo en tant qu'art subordonné au cinéma. Dans ce continuum, les développeurs verront la possibilité de guider entièrement le joueur à l'aide des ressorts émotionnels, du rythme des décisions-éclair et du choix unique proposé. En conséquence, le joueur sera le projectionniste qui doit faire tourner la bobine pour son entourage qui sera venu regarder un film interactif en étant le plus humainement possible impliqué dans le déroulement de l'action. Et en cela, ce type de jeu peut être novateur et surtout prometteur si l'on considère 1886 comme une ébauche. Le gros point noir, c'est que la tendance mènera la recherche du spectaculaire vers l'éphémère et ces opéras modernes seront bientôt moins longs qu'un vrai opéra. Trois heures tout au plus, c'est le temps qu'aurait duré le jeu si l'aspect répétitif avait été éclipsé; et c'est ce que l'avenir réserve pour les futurs développements de cette stature. Il faudra revoir les tarifs à la baisse à moins que le marketing envisage le jeu vidéo de luxe...
Je n'ai pas fait le jeu, il m'intéresse énormément malgré les polémiques et je le ferai en une journée quand son prix aura baissé. La dystopie qu'il propose est extrêmement riche et ça: http://www.jeuxvideo.com/news/418029/le ... r-1886.htm ça laisse rêveur pour les futures licences.

Parallèlement, je préfère la création d'un jeu qui se nourrit du cinéma plutôt que de l'incarner sous tous ses attraits (ben oui, on est sur le forum de MGS) tout simplement parce que le joueur fait plus qu'évoluer, il apprend à travers le jeu. Parce que lorsque la première fois où Metal Gear Solid a étonné par son originalité, il a prouvé qu'un jeu doté d'un scénario proche du film peut permettre au joueur de deviner comment il peut utiliser les items mis à sa disposition (sauf s'il est un amoureux du codec). Et comme dans tout RPG ou Open World (c'est non exhaustif), peu importe la durée de la session de jeu, il y a la durée de vie et surtout un univers où l'on peut se perdre sans vraiment l'être puisque même si le fil directeur est ignoré le temps de l'exploration, il peut être retrouvé (ce qui est superflu dans un film-jeu). Je suis vraiment curieux de voir ce que Kojima a prévu pour V, pas exclusivement dans la structure puisqu'il y aura forcément des éléments secondaires (et complémentaires) à la progression de la mission principale, mais particulièrement dans le carnet d'idées puisque c'est exactement ça qui va différencier la partie d'un joueur A de celle d'un joueur B. Je place trop d'espoir dans la saga, mais le jour où un jeu proposera une IA ultra aléatoire qui forcera le joueur à repenser entièrement une mission comme lors de la première tentative, le cinéma sera entièrement dépendant du jeu vidéo. L'inverse de The Order, quoi. C'est qu'une question de temps, ou un problème plutôt.

GTA V jongle entre ces deux écoles très adroitement, ce qui doit être la raison pour laquelle Kojima y a vu un référentiel dans ce qu'il nous réserve. En attendant, du peu que j'ai vu de The Order, le rythme scénaristique et la dose d'action esthétique feront tout de même figure de référence. J'ai oublié les graphismes, mais là dessus rien à dire à part que le souci du détail montre que les graphistes sont des authentiques passionnés.

Si quelqu'un pourrait m'expliquer ce qu'il a pensé du déroulement de sa partie, je suis curieux de connaître ce qui l'a surpris ou lui a agréablement fait plaisir en dehors du scénario formel et des mécaniques de gameplay. Merci.

Intéressant, tout ça !

Mais "l'IA ultra-aléatoire", c'est-à-dire j'imagine l'IA vraiment différente à chaque partie sans aucun schéma auquel on peut se fier : est-ce encore du jeu ?

Il me semble que, comme toute forme de jeu, le vidéoludisme doit garder un côté prévisible et répétitif pour être recommencé à l'infini.

Sinon, je pense qu'il y aurait un paradoxe qui se produirait : on n'aurait pas envie de recommencer la partie à cause de l'imprévisibilité, justement.

Il faut avoir joué à Turok (le reboot) pour s'en rendre compte.

Me fait penser au jeu Gods Will Be Watching qui nous met dans des situation extrême ou il faut savoir prendre les meilleurs décisions possibles, mais l'aléatoire trop présent du jeu rend chaque situation totalement imprévisible. Comment pouvoir planifier et prendre en considération les événements passé et futur si de toute façon rien ne se passe "comme prévu" ?



Le cinéma et le jeu vidéo sont indissociable, mais ils ne font que se croiser. Je ne crois pas en un hybride miracle.

Pareil fini hier j'ai adoré le jeu!

J'entendais par IA ultra-aléatoire un état de raisonnement procédural où les péripéties d'une mission sont déterminées à l'aide d'un ordre préétabli proposant suffisamment d'embranchements pour permettre d'intituler cette mission "arborescence de la mission #" (ou n'importe quel blase plus joli à l'oreille). Dans ce concours de circonstances, il n'y aurait pas uniquement du hasard dans lequel le joueur ose s'aventurer, mais aussi des patterns lui permettant de penser de stratégies pertinente. Il ne faut pas oublier que même dans un jeu répétitif comme Call Of Duty, le comportement de l'IA crée presque une entropie dans sa confrontation au joueur et le force à faire appel à des réflexes de survie, ce qui revient à accepter cette part d'imprévu (la grenade qui pop à 20cm avec un compte à rebours de 0,2 seconde ou le pnj qui se la joue auto-aim alors qu'il n'est même pas entièrement retourné pour passer en mode offensif) qui est certes frustrante, mais que le joueur accepte par désir de surpassement et parce que "non, ça n'aurait pas dû se passer comme ça."

Le côté prévisible de ce style de gameplay est présent dans les actions réalisables par le joueur puisque même dans un Open World par exemple, rien n'empêche le joueur de partir de la même idée pour y voir un scénario différent (jouer au bowling avec une voiture piégée au C4 avec le traffic autoroutier en guise de piste, ou les joies de la physique et de la théorie du chaos). Dans le cadre d'un Metal Gear Solid, il y aurait une fin majeure à une mission mais elle serait atteinte par un cheminement à chaque fois un tant soit peu différent. Parce que la curiosité réside dans les chemins inexplorés. En tout cas le vidéoludisme ne doit en effet jamais se débarrasser de certaines composantes répétitives (progression en vue de dévoiler un nouveau point de vue au joueur par exemple) mais même ces composantes sont modifiables.

Je n'ai jamais joué à Turok, je connais de nom. Comment le gameplay est-il affecté dans le jeu?

Ils ont l'air d"avoir concentré leurs efforts sur la réalisation,les graphismes,le scénario et l'ambiance...Ils ont l'air d'avoir réussi.D'après ce que je lis à travers internet.

Mais bon, ça reste un genre de jeux VIDEO particulier, qui à l'air d'avoir mélangé un TPS à du Heavy Rain.
Pourquoi pas, moi je ne pensais pas qu'il s'agissait d'un jeux concentré "à ce point" sur les cinématique.

Après je reste un pauv'type qui n'a pas jouer au jeux, parce que je ne veux pas la jouer kit ou double. Pas tout le temps en tout cas.

Je parlais du "reboot", celui sorti sur 360 et PS3. J'ai juste pensé à ça quand j'ai lu ton post, parce que dans ce jeu, l'IA des dinosaures est particulièrement aléatoire et frustrante. Leurs attaques sont trop vives et imprévisibles. C'est certainement une IA "réaliste" mais pas du tout fun à combattre.

Je ne peux pas donner de meilleur exemple que cet extrait du test de jv.com :



(Et tout ça, par hasard ! A la prochaine partie, ce sera encore une fois imprévisible.)

Enfin bref, je comprends mieux maintenant ton raisonnement : la clé d'une IA aléatoire (ou plutôt de l'illusion d'une IA aléatoire...), c'est effectivement une histoire d'embranchements et de situations qui se renouvellent. Et je pense qu'à ce niveau, TPP nous réserve de belles surprises. Tout simplement parce que c'est le joueur qui déterminera la variété de ces situations.

@flying_fox Je vois, c'est typiquement le genre de situation qui donnerait envie d'inventer un langage informatique qui permettrait d'insulter les scripts. C'est à se demander si le studio en charge avait des beta testers (et si c'est le cas, quelle est leur niveau de sadisme). En tout cas si on s'efforce de renommer l'IA c'est parce qu'elle n'est plus la copie virtuelle de la pensée humaine (pour l'instant) et ceux qui s'accordent à parler de raisonnement artificiel ont raison. Jusqu'à la nécessité de créer pour mieux raisonner et là on parlera de cerveau artificiel, enfin divagation à part je pensais à des jeux créés par des cerveaux artificiels.

@StrangeAtlas Sans parler nécessairement d'hybride, ni de commensalisme, quoi que. Si un art est la somme de plusieurs arts antérieurs, le jeu vidéo sera peut-être à l'avenir le facteur d'un art qui aura transcendé le jeu et le film et on ira au cinéma voir des acteurs incarner des avatars dans des films en direct. Par contre j'ai pas de nom pour ça.

Du théâtre?

Après relecture c'est pas assez précis en effet. Du théâtre virtuel, un ou plusieurs acteurs sur une scène excentrée. Un énorme écran qui diffuserait un jeu-film dont les héros/acteurs seraient les seuls en mesure de gérer le bon déroulement des événements. Un scénario réparti sur une arborescence pour proposer plusieurs fins et étapes subsidiaires au public, chacunes d'elles provoquées aléatoirement par le comportement in-game de l'acteur. Je suis d'accord sur le fait que ça demanderait un studio de cinéma entièrement fonctionnel pour que l'acteur puisse évoluer physiquement dans un environnement 3D mais les technologies sont déjà toutes existantes. Elles ne sont juste absolument pas assez puissantes. Donc je pense qu'une évolution du jeu vidéo est concevable.

Une sorte de "Commedia dell'arte" de l’extrême.
Ou, si on veut être poétique, la vie : le parfait mélange entre jeu et cinéma.

"Ou, si on veut être poétique, la vie : le parfait mélange entre jeu et cinéma."

En réalité hier soir je pensais exactement à ce que tu viens de dire. Un spectacle digital (moins perché que les opéras digitaux japonais, très avant-gardistes & très, TRÈS expérimentaux à la fois).