L'histoire de Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots

Le soleil se couche. Au pied d'un arbre, Snake s'approche doucement d'une tombe. Mais son attention est attirée par un bouquet de fleurs fraîchement déposé à coté de celle-ci. Sur la tombe vers laquelle il se dirige est noté «Un héros à jamais loyal au flammes de la guerre, repose en Outer Heaven. 193x-1999» Il regarde calmement la tombe. «La guerre a changé» se dit-il en se mettant une cigarette à la bouche. «Notre époque est terminée. Notre guerre est terminée.» Il allume sa cigarette. «Mais il me reste encore une chose à faire.» Snake savoure deux trois bouffées de sa cigarette. «Une dernière punition à supporter. Je dois effacer mes gênes, supprimer le même de la surface de la Terre...» Il range soigneusement sa cigarette dans son étui. «C'est ma toute dernière mission». Snake s'approche alors de la tombe et glisse sa main dans sa poche pour en sortir une arme. Minutieusement, il l'a charge d'une balle, et s'agenouille lentement en regardant la pierre. Doucement il dirige le canon dans sa bouche. Sa respiration s'accélère. Brusquement, le silence du cimetière est interrompu par le bruit d'une arme à feu. Pris de panique, des oiseaux s'envolent. Solid Snake a tiré.

Sur le tarmac de l'aéroport, la fête continue sans qu'aucun ne se doute de rien. A l'écart, Drebin est assis sur une chaise et regarde le groupe danser et s'amuser. Otacon le rejoint et s'étonne de voir le trafiquant boire du champagne plutôt que ses traditionnelles boissons gazeuses. Drebin lui explique que les boissons gazeuse s'accordent mieux avec les nanomachines. Elles décèlent l'alcool et empêche d'être saoul. Plus besoin de se retenir maintenant. Mais tout est loin d'être rose. Beaucoup de gens ont perdu leur raison d'être depuis que SSOP a été déconnecté. Des types souffrent du sevrage du SOP. On appelle ça le syndrome SOP. Le SOP ne gardait pas que l'alcool sous contrôle. Tous ces pauvres gens sont totalement à vif maintenant. Plus de 10% d'entre eux ressentent ces symptômes. S'être débarrassé des Patriotes n'a pas résolu tous les problèmes, conclut Otacon.