Enfin, nous avons pu parcourir
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes en long, en large et en travers ! Découvrez nos impressions sans le moindre spoiler à l'horizon !
Garanti sans spoiler !
L'avis de Sheen
Débuter un article pour partager ses impressions sur
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes reflète exactement le sentiment qui s’empare de soi lorsqu’on débute les nouvelles aventure de Big Boss. Sous nos yeux émerveillés, le Camp Omega ouvre officieusement ses grilles. Mais par où commencer ? Alors, on est tenté de faire ce qu’on a vu dans
la démo présentée par Hideo Kojima. Vous savez, celle qu’on a visionnée mille fois, histoire de patienter jusqu’à la sortie du jeu. Et puis, très vite, on prend son propre envol et on écrit sa propre histoire, celle de Big Boss.
C’est pourquoi, je ne tomberai pas dans le piège en vous disant combien de temps j’ai mis pour terminer la mission principale. Tout simplement parce que ça n’a vraiment, mais alors, vraiment aucun intérêt ! Pour avoir fini plusieurs fois la mission
« Ground Zeroes », jamais une de mes parties n’a ressemblé à une autre. Vous avez beau planifier vos déplacements, marcher doucement, ramper prudemment, il y aura toujours un imprévu. Et si celui-ci se termine par la douce mélodie d’une alarme générale, il est désormais bien difficile de fausser compagnie aux gardes qui vous coursent. Cette fois, leur vue est affûtée, leur audition décuplée et leurs réactions bien souvent imprévisibles. Et si je vous en disais d’avantage à leur sujet, je gâcherai votre expérience de jeu. Car
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes propose une infiltration souvent tendue, pour peu que vous essayiez de n’être qu’une ombre. Mais bien souvent, vous êtes vus avant d’avoir vu. Et c’est précisément pourquoi, dans ce nouvel épisode,
Kojima Productions propose des nouveautés de gameplay, bien trop vite décriées.
Vous le savez certainement, Big Boss peut marquer ses ennemis avec l’aide de ses jumelles, ce qui lui permet de garder un oeil sur eux, même à travers les murs. Si, à première vue, cela semble rendre le jeu plus « facile » - ce qui est loin d’être le cas - une chose est sûre, le jeu laisse toute frustration au vestiaire. Et puis, prendre le temps de marquer un garde, c’est parfois prendre le risque d’être découvert par un de ses camarades que vous n’aviez pas vus. Méfiez-vous !
Quant au fameux mode ralenti qui s’active automatiquement lorsque Snake est découvert, c’est tout simplement une option « ni amie, ni ennemie ». En effet, dans certains cas, elle vous sera salutaire, c’est certain. Mais dans d’autres, elle ne fera qu’exploser votre compteur de stress, parce que votre ennemi est bien mal placé pour que vous puissiez vous en débarrasser. Et c’est à vous de choisir rapidement de détaller comme un lapin, ou de lui coller une carotte entre les deux yeux.
S’il est toujours possible d’endormir les gardes avec un pistolet tranquillisant, il est désormais plus difficile de toucher sa cible, si celle-ci se trouve loin de vous. Cette fois, il vous faudra bel et bien tenir compte de la distance qui vous sépare de l’ennemi en visant un peu plus haut que la tête. Cela étant dit, il est préférable d’interroger un maximum d’ennemis plutôt que de les endormir. Une fois maîtrisé, votre proie se fera un plaisir de vous révéler des informations plus ou moins importantes pour votre missions ou pour votre armement. Libre à vous de l’assommer ou de le tuer avec votre couteau (uniquement disponible lors des interrogatoires).
Côtés musiques, celles de
Ground Zeroes sont discrètes et certaines sont vraiment épiques ! Contrairement aux autres Metal Gear, ces notes épiques ne se jouent pas pendant les cinématiques, mais bien durant le jeu, pendant que vous agissez avec Snake, ce qui parfois peut vous faire pousser des ailes ou intensifier le caractère dramatique des événements.
En fait,
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes est une sorte de mélange entre
MGS1 et le tanker de
MGS2. Le Camp Omega vous refera vivre certaines sensations de ces épisodes passés. C’est grisant ! Par exemple, durant votre première partie, vous serez déjà partagé entre l'idée d'accomplir votre mission et celle d'expérimenter certaines choses pour assouvir votre curiosité. D'ailleurs, j'ai pu remarquer que des cinématiques peuvent très légèrement varier en fonctions de vos actions précédentes. Je parle bien de cinématique, pas de l'histoire.
Fans de David Hayter, soyez rassurés. La nouvelle voix de Snake, celle de Kiefer Sutherland, n'est vraiment pas perturbante, bien au contraire. Et dieu sait que j'aime la voix de David Hayter (bien que trop poussée dans MGS4). Dès le début, manette en mains, on sent la volonté de KojiPro de proposer une nouvelle direction pour la saga. Et la nouvelle voix de Snake rempli parfaitement ce rôle.
Dans la mission principale, il n'y a visiblement pas d'humour, contrairement aux autres MGS. Du moins, je n'en ai pas vu. Le ton est plus sérieux et plus sombre. Mais c'est un choix parfaitement assumé par Kojima Productions. Toutefois, l'humour est bel et bien présent dans les missions annexes. Et l'une d'entre elles va, sans aucun doute, apporter de l'eau au moulin des détracteurs de Hideo Kojima. Les autres, en revanche, vont sourire de la situation.
Mention spéciale pour la nouvelle forme du Codec. À l'image du gameplay, la fluidité avec laquelle le Codec est intégrée renforce totalement l'ambiance du jeu. Cependant, si vous ne parlez pas du tout l'anglais, certaines interventions de Kaz vous échapperont peut-être parce que vous serrez trop concentré sur vos gestes, en oubliant de lire un ou deux sous-titres, à l'instar d’un certain GTAV.
Pendant le jeu, il est possible d'approfondir le scénario grâce aux cassettes déjà présentes dans l'escarcelle de Snake ou grâce à celles disséminée un peu partout dans le jeu. Les cassettes tiennent un rôle important dans cet épisode, et KojiPro trouve même une façon ingénieuse de proposer un jeu de piste, pour peu que vous soyez attentifs !
Si
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes n'est pas parfait, il apporte enfin un nouveau vent de fraîcheur à la série. Hideo Kojima prend enfin le risque d'abandonner tout l'héritage qui handicapait la série depuis
Metal Gear Solid 2 ! Le gameplay est plus fluide et plus nerveux. L'infiltration mieux maîtrisée et plus réaliste. Les gardes plus humains et moins prévisibles. Le monde est vivant et plus varié. Et comme pour chaque nouveau Metal Gear Solid, la prouesse technique ne se résume pas à ses graphismes. La puissance du
Fox Engine, ses effets de lumières, ou encore son jeu habile de flouter les éléments qui sont proches de la « caméra » du joueur, sont totalement au service de l'ambiance du jeu. C’est très réussi ! Si vous le pouvez, préférez la version PlayStation 4. Toutefois,
Ground Zeroes sur PS3 reste très joli, même à 30 images/sec. (Je n'ai pas eu l'occasion de tester les versions Xbox 360 et Xbox One).
L'un des plus grands défauts de
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes est peut-être celui d'avoir été affublé par la mauvaise réputation d'être une démo payante. C'est dommage, car le titre ne le mérite pas. Mais que les détracteurs de KojiPro en profitent, car
Metal Gear Solid V : The Phantom Pain est bien parti pour être totalement monstrueux !
Vos questions, fréquemment posées :
Le CQC est-il facile à maîtriser ?
- Oui, il est très bien pensé. Impossible de se tromper entre « interroger un garde » et de « tuer un garde » par inadvertance.
Y a-t-il du multijoueur ?- Non, en revanche il y a un classement en ligne pour plein de records, parfois drôles et loufoques.
Faut-il utiliser un spray pour se soigner ?- Seulement quand le jeu vous le propose, c'est-à-dire quand tout va très très mal pour Snake. Souvent il est trop tard car il faut agir vite.
Y a-t-il des traces de pas dans la boue ?- L’absence de traces de pas pourrait être préjudiciable à l’immersion, mais en fait il n’en n’est rien. En effet, le sol du Camp Omega est labouré par les allées et venue des véhicules et des soldats. Comment alors distinguer une trace de pas spécifique dans un tel environnement ?
Est-il vrai que l'on ne puisse plus taper contre un mur ou un objet pour distraire les gardes ?- Oui. Mais vous n’aurez plus envie de distraire les gardes.
Les gardes sont ils tous cantonnés à une "zone de patrouille" précise ?- Difficile de faire autrement, c’est un jeu vidéo. Mais il y en a tellement qu’il faudra du temps pour se souvenir de tout. Très longtemps.
Cette fin ? Sublime ?- Chuuut ! :)
Peut-on recruter dans tous les soldats présents dans le jeu ?- Les marines (endormis) peuvent être également apportés dans l’hélicoptère de Snake.
Quand sortira l'application mobile ?- En principe, le jour de la sortie du jeu. Pas avant.
Quand on se fait repérer il n'y a plus de « mode alerte » alors du coup comment savoir si on n'est plus repérer par l'ennemi ?- Il faut être très attentif aux comportements et aux discussions des gardes. Une indication rapide s’affiche également sur l’écran. Mais dans l’action du jeu, on n’y fait pas souvent attention. C’est bien plus réaliste que dans les épisodes précédents !
Est-ce que la sensation MGS est là ?- Oui, mille fois oui.
Y'aura-t-il un mode Facile ? Si oui, les gardes sont-il aussi bêtes que dans MGS3 ?- Non, mille fois non !
Est-ce qu'on pourra charger une partie directement depuis le menu pause ?
Parce que pour les anciens il fallait mourir ou relancer le jeu pour pouvoir le faire.- Hideo Kojima a pensé à toi.
L'avis de Tin
Quelle tâche difficile de tester un nouveau Metal Gear. Trouver les mots justes afin de transmettre sur le papier de la manière la plus fidèle possible des sensations de jeu est quelque chose de très ardu. Je ne vous apprends rien en vous disant qu’une multitude de previews, tests ou autres articles sont déjà disponibles sur le titre depuis quelques temps. Qui dit articles dit souvent qu’il y a à manger et à boire et c’est à vous de faire votre sélection critique qui vous permettra d’avoir un point de vue respectable sur le titre. Parce que soyons clair : vous n’aurez un verdict complet qu’une fois avoir joué au jeu. Ayant eu la chance et l’honneur de m’y essayer plusieurs heures je peux vous donner ici mes ressentis. Pour vous remettre en contexte, j’ai pu effectuer la mission principale [
Ground Zeroes] à plusieurs reprises ainsi que l’intégralité des missions annexes à l’exception de la mission [
Déjà Vu] (disponible en bonus dans les version PS3 et PS4). Je peux donc dire que j’ai une connaissance du titre assez complète, bien qu’insuffisante car il me faudrait bien plus longtemps pour venir à bout du camp Omega. Je ne vais pas vous faire languir d’avantage : le jeu est une réussite !
Coté visuel, mon étonnement fut grand lors de la première projection de la cinématique de début que vous connaissez tous. On nous bassine avec le 60images/sec de la version PS4 qu’on ne peut au mieux qu’imaginer puisque toutes les vidéos présentes sur le net sont en 30im/sec. Autant le dire tout de suite ça change tout ! Quelle fluidité ! Pour vous donner un exemple concret dans le premier plan de cette fameuse cinématique, des hautes herbes se courbes au gré du vent et de la pluie. Croyez moi ce que j’ai vu n’a absolument rien à voir avec les vidéos/trailer sur Internet… C’est criant de vérité, c’est bien plus dynamique, ça bouge d’une manière indescriptiblement fluide. Ca m’a vraiment bluffé ! Mes sensations, manette en main, de la première heure sont extrêmement révélatrices de ce nouveau Metal Gear Solid. Explications : Quelle joie que de tourner la caméra autour de Big Boss pour la première fois … quelle joie mais quel stress également ! Vous ne savez pas vraiment comment vous y prendre au commencement tellement ce nouvel opus arbore des mécanismes fondamentalement différents des autres épisodes. C’est stressant, on sent véritablement la pression sur nos épaules. On a l’impression que l’on nous observe de partout. Un faux pas et c’est le drame ! La combinaison d’ambiance sonore et visuelle est d’une efficacité indétrônable. Les effets sonores fins et subtils viennent agrémenter la tension quand un ennemi croit vous avoir aperçus au loin. La pluie claque de partout, l’orage gronde, le vent balance de véritable murs d’eau qui se fracassent sur vous et sur les décores. C’est immersif c’est une certitude… Mais qu’est ce que c’est immersif !
Graphiquement c’est donc très agréable sans être non plus ce qui se fait de mieux actuellement. Il est vrai que
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes n’est pas la révolution graphique que l’on attendait. Pour la claque visuelle il faudra attendre un peu. C’est l’ensemble qui fait de ce jeu un titre impressionnant visuellement. Il n’y a pas une fausse teinte, une incohérence colorimétrique qui viendraient atténuer le réalisme. C’est certes sobre et modeste en texture (surtout le jour où la pluie n’est plus présente) mais l’environnement est vivant, organique. Les oiseaux volent au dessus de votre tête, se posent sur un toit et s’envolent quand un coup de feu est tiré etc. C’est ça qui fait la force visuelle de ce nouvel épisode : sa cohérence.
Coté gameplay c’est la (r)évolution. Toutes les commandes ou presque ont radicalement été revues. Le coté rigide des anciens Metal Gear à été balayer d’une manière magistrale. Je procéderai en deux temps dans mon analyse du gameplay en abordant les mêmes points de nouveauté dans une perspective évolutive et dans une perspective traditionaliste. Coté évolution du gameplay on ne pouvait rêver mieux. En effet Snake s’est assoupli avec l’âge (oui c’est paradoxal :)). Je vais prendre une image réductrice consciemment pour exemplifier cette affirmation. Je vais prendre comme objet de référence et de comparaison
MGS4 qui est le dernier MGS console de salon au gameplay traditionnel. Old Snake se mouvait de manière linéaire et séquentielle : Pour prendre un ennemi en CQC et le mettre au sol il fallait : 1) l’attraper avec R1, s’accroupir avec X, donner un coup sur le coté souhaiter avec le joystick droit, appuyer fort sur R1 pour l’étouffer. Ce qui donne la combinaison suivante : R1+X+DROITE+R1 enfoncé. Vous obtenez donc pour ce mouvement CQC une séquence qui une fois exécutée produit un mouvement, une action souhaitée. C’est a peu prêt la même logique pour tout autre mouvement dans
MGS4. En comparaison, si MGS4 est séquentiel,
Ground Zeroes est continu. Je m’explique : il est très facile d’exécuter une action dans
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes sans ne jamais ressentir la séquence. Big Boss fait l’action de manière fluide et continue en une pression de bouton et une inclinaison de joystick. Si je dis que l’action est continue c’est parce que Big Boss à la particularité d’interrompre une action (la séquence) et d’en entamer une autre ou de l’abandonner complètement si la situation ne s’y prête plus (ce qui était impossible à exécuter dans MGS4 avant la fin de la séquence). Vous pouvez donc prendre quelqu’un en otage en CQC et tout d’un coup voir un autre ennemi apparaître dans votre dos. Vous lâcherez votre proie pour vous retourner et mettre au sol le deuxième ennemi et revenir vers le 1er en une fraction de seconde sans avoir eu la sensation de latence de la fin d’un mouvement pour pouvoir en effectuer un autre. Ce qui aurait été deux séquences distinctes dans
MGS4 n’en est qu’une dans
Ground Zeroes. C’est le coté évolutif du gameplay.
Dans la deuxième perspective (traditionaliste) du gameplay, il y a également des choses à dire. En réalité mes conclusions de cette perspective découlent directement de l’évolution du gameplay. Ne plus scinder les séquences d’actions casualise un peu le jeu. Je ne dis pas que le jeu devient plus facile ou moins intéressant à jouer mais il est inévitablement plus intuitif. Les plus conservateurs d’entre nous regretteront peut être le challenge d’effectuer justement une séquence de mouvement compliqué à réaliser. De ce point de vue traditionaliste,
Ground Zeroes perd peut être un peu en intérêt. La difficulté des combinaisons de MGS4 (lors des parties online par exemple) devenaient de véritables prouesses techniques sur le champ de bataille lorsqu’elles s’enchaînaient. Nous risquons ici de trouver un panel de mouvement qui pourrait être parfaitement exécuté par tout le monde et ainsi perdre le clivage entre joueurs expérimentés et joueurs occasionnels. Ce n’est pas un gros défaut de mon point de vue mais il me semblait important d’en parler quand même.
Une autre question que vous-vous posez tous : la difficulté. J’ai joué à la mission principale en NORMAL et en HARD une fois débloquée. Comme évoqué plus haut, le jeu est assez stressant tellement il est immersif. Il est donc naturellement plus difficile à aborder qu’un autre épisode. Si vous pensiez savoir ce qu’était un jeu d’infiltration vous n’avez encore rien vu… Nous y sommes ENFIN ! Lors des phases de jour, les ennemis nous voient vraiment à des kilomètres. Se jeter au sol quand on croit qu’un soldat nous à aperçu est une sensation tellement jouissante la première fois. C’est très réaliste. Les gardes plissent les yeux, baissent un peu la tête, sortent leur lampe de poche si il fait noir pour vérifier que leurs yeux ne leurs ont pas faits défauts. On s’y croirait ! En mode normal il faut déjà faire extrêmement attention à ce qu’on fait. Planifier préalablement tous ses mouvements pour éviter de se faire repérer. C’est éprouvant et fatiguant mais qu’est ce que c’est bon ! On ressent vraiment la satisfaction après chaque étape de son avancée dans le camp Omega. Ça faisait longtemps que j’attendais ce genre de challenge implicite. En mode Hard, paradoxalement le gap n’est pas tellement plus important. Je m’explique. C’est plus difficile qu’en mode normal, c’est certain mais ce n’est pas dans le sens : mission impossible. Je suis super heureux que ça soit ainsi. Je déteste les jeux qui deviennent impossible à jouer tellement c’est devenu compliqué, j’aime garder un certain plaisir de jeu, et ce même en mode HARD. Les soldats voient plus loin, entendent mieux, changent d’itinéraire lors de leurs rondes, vous cherchent activement en mode alerte mais tout cela reste jouable. Si vous faites le jeu en difficulté normale et que vous l’aborder en mode infiltration réfléchie, vous sélectionner déjà vous même le mode hard que vous-vous imposez. Quand vous-vous frotterez au mode HARD en gardant ce style de jeu, vous ne devriez pas rencontrer trop de problème.
En conclusion, j’ai abordé quelques points assez techniques, j’en suis assez conscient, mais il me semblait important d’aborder pour une fois les points plus techniques qui sont à mon sens tout aussi importants dans le nouveau titre de Kojima Productions. J’ai aimé Ground Zeroes… mais tellement qu’il me tarde de voir la suite ! C’est une excellente mise en bouche à
The Phantom Pain ! A l’heure ou j’écris ces lignes et en ayant décrit ma progression (les missions annexes et la mission principale) mon pourcentage de complétion est encore bien faible… Oui
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes est un vrai jeu, qui vous demandera beaucoup de temps pour en voir le bout ! Excellente entrée pour Snake sur next gen ! VIVEMENT LA SUIIIIIITEUUUUUUH !
Metal Gear Solid V : Ground Zeroes sort le 18 mars 2014 en Amérique du Nord et le 20 mars en Europe et au
Japon, sur PlayStation 3, Xbox 360, PlayStation 4 et Xbox One.